Les tourbières
Les tourbières et bas-marais alcalins
Ce type de tourbière est alimenté en eau par des écoulements ou une nappe souterraine calcaire et non plus acide. La végétation va donc être différente. Ici, la sphaigne que l’on dit acidiphile n’est pas à son aise et laisse place à des plantes, comme les carex (Marisque, Schoin noir...), des roseaux et des mousses.
D’autres merveilles vont aussi pointer leurs pétales comme l’Épipactis des marais, une orchidée, et la Parnassie des marais, dont les noms suggèrent aisément les milieux où elles poussent. Le calcaire contenu dans l’eau peut former, en précipitant, du tuf, concrétions grises attestant du caractère alcalin de la tourbière.
Ces tourbières sont présentes très ponctuellement en Brenne et dans le Perche, à proximité des têtes de bassin, situées à l’amont des rivières traversant la Champagne berrichonne, en fond de vallée de l’Eure et de ses petits affluents, de l’Indre, de la Conie et de l’Aigre. Ce sont le plus souvent des bas-marais plutôt que de vraies tourbières alcalines qui sont aujourd’hui rarissimes en région Centre-Val de Loire.
D’autres merveilles vont aussi pointer leurs pétales comme l’Épipactis des marais, une orchidée, et la Parnassie des marais, dont les noms suggèrent aisément les milieux où elles poussent. Le calcaire contenu dans l’eau peut former, en précipitant, du tuf, concrétions grises attestant du caractère alcalin de la tourbière.
Ces tourbières sont présentes très ponctuellement en Brenne et dans le Perche, à proximité des têtes de bassin, situées à l’amont des rivières traversant la Champagne berrichonne, en fond de vallée de l’Eure et de ses petits affluents, de l’Indre, de la Conie et de l’Aigre. Ce sont le plus souvent des bas-marais plutôt que de vraies tourbières alcalines qui sont aujourd’hui rarissimes en région Centre-Val de Loire.